L’affaire du mur des cons avait mis en lumière l’engagement politique d’un syndicat de magistrats dont on pouvait légitimement supposer la neutralité.

Au lendemain d’un attentat à Marseille, le Syndicat de la Magistrature se distingue à nouveau en portant plus d’attention aux droits des terroristes qu’aux droits des victimes, appliquant le célèbre adage : Il vaut mieux cent coupables en liberté qu’un seul innocent en prison.

Autrement dit, la liberté de tuer prime sur la liberté de vivre.

Il est non seulement scandaleux qu’un syndicat de magistrats critique ouvertement les lois qu’ils doivent appliquer, mais il est délirant que des juges s’intéressent plus au sort des bourreaux qu’à celui des victimes. Le tout dans l’indifférence politique générale.