La première des fake news, c’est le no news. Et contrairement à l’adage populaire, pas de nouvelles ne signifie pas bonnes nouvelles. En France, pays où l’idéologie tient lieu de boussole médiatique, la misère reste cachée sous le tapis.

On comprend mieux pourquoi Macron cible RT, média russe accusé de propager des fake news. En réalité, l’objectif du locataire de l’Élysée est de renforcer le contrôle des médias pour empêcher toute objection à son narratif.

Ainsi cette semaine, les résultats d’une étude commandée par le ministère de la Famille allemand sur la violence en Basse-Saxe ont été opportunément passés sous silence par la presse française.

La raison est simple : après avoir baissé depuis plusieurs années, la violence en Basse-Saxe est de nouveau en hausse. Et 92% des crimes et délits dus à cette hausse sont le fait de migrants.

Tout ce qui ne correspond pas au narratif progressiste, vérité incluse, est éliminé. Et non contents de s’auto-censurer, les censeurs diabolisent les sites qui diffusent ce genre d’information en les qualifiant de « fachosphère ».

La France est évidemment une démocratie. Mais en dehors des institutions, les hommes politiques, les médias et la justice fonctionnent de plus en plus comme des dictatures en détournant les moyens démocratiques. Le dernier exemple : la proposition de loi contre les fake news permettant de légaliser la censure du pouvoir en place.